Les bienfaits du galanga : pour les maux d’estomac, le cancer et plus encore

Bienfaits du galanga sur la santé

 

Qu’est-ce qui ressemble au gingembre, agit un peu comme le curcuma, combat le cancer comme un champignon shiitake et protège votre cerveau ? Vous l’avez (probablement pas) deviné : le galanga.

Cette racine, qui fait partie de la famille du gingembre, pousse dans diverses régions d’Asie et est une plante de base de la cuisine thaïlandaise.

Le plus gros point fort du galanga, cependant, est la façon dont il agit pour garder notre corps en bonne santé. La recherche a découvert qu’il avait des effets positifs importants sur huit types de cancer et réduisait les formes spécifiques et chroniques de l’inflammation, souvent mieux que les médicaments.

Partons donc en voyage pour explorer cette plante et découvrir comment elle peut être bénéfique pour votre santé.


Qu’est-ce que le galanga ?

Je vous promets que je n’essaie pas de vous duper, ce n’est pas du gingembre. En fait, le galanga est utilisé dans de nombreuses recettes asiatiques de manière similaire au gingembre mais les deux plantes ont des saveurs uniques.

Bien que le galanga et le gingembre soient deux racines différentes, ils appartiennent à la même famille.

Le terme « galanga » fait référence à l’une des quatre espèces de plantes de la famille des Zingiberaceae : Alpinia galanga (grand galanga), Alpinia officinarum (petit galanga), Kaempferia galanga (kencur, galanga camphré ou faux galanga) ou Boesenbergia rotunda (galanga de Chine, Curcuma rond ou fingerroot) (1).

La plupart des recherches scientifiques portent sur les espèces végétales les plus grandes (Alpinia galanga) ou les plus petites (Alpinia officinarum).

Cette racine épicée est originaire de Chine et de Thaïlande et a ensuite fait son entrée dans la médecine ayurvédique courante. Beaucoup de gens décrivent sa saveur comme à la fois terreuse et citronnée, avec un coup de pied épicé.

Cependant, le galanga n’est pas épicé à cause de la capsaïcine, comme la plupart des aliments épicés. Au lieu de vous laisser avec une sensation de brûlure durable, il vous frappe et disparaît immédiatement.

Si vous aimez la cuisine thaïlandaise et que vous avez déjà essayé le tom ka gai, une soupe populaire à base de lait de coco, vous avez pu reconnaître le goût de la racine de galanga comme ce goût si particulier que vous ne pouviez tout simplement pas trouver.

Histoire du galanga

Le galanga est cultivé depuis au moins 1000 ans en Chine. À la fin du XIe siècle et au début du XIIe siècle, sainte Hildegarde de Bingen (philosophe et mystique chrétien allemand) nomma le galanga «l’épice de la vie», le citant comme l’un de ses remèdes préférés pour diverses affections.

Plus tard, un herboriste de premier plan aurait davantage popularisé le galanga pour son utilisation pour traiter les maladies cardiaques, l’indigestion et même la surdité.

L’utilisation de cette épice s’est ensuite répandue en Europe, où elle a été utilisée pour toute sorte de maux, de la guérison des blessures au traitement des infections nasales.

En 1898, le galanga fut inclus dans le King’s American Dispensatory, un livre publié pour la première fois en 1854 qui couvre les utilisations des plantes utilisées dans la pratique médicale américaine.

Aujourd’hui, les Russes utilisent le galanga comme base pour beaucoup de leurs liqueurs.

En 2015, des chercheurs en Malaisie ont découvert que le galanga pouvait en fait être une défense incroyablement efficace contre les termites (2).


Valeur nutritive du galanga

A l’instar du gingembre, les racines du galanga se développent dans les rhizomes souterrains. Bien que ce ne soit pas un aliment de base dans la plupart des styles de cuisine occidentaux, c’est un ingrédient commun dans la cuisine thaïlandaise et dans la cuisine traditionnelle chinoise.

Les rhizomes contiennent une petite quantité de calories et d’autres nutriments, bien que la taille des portions varie d’une recette à l’autre et certaines peuvent ne contenir qu’une infime quantité d’épices.

Une portion de 100 grammes de racine de galanga contient environ (3) :

  • 71 calories
  • 15 grammes de glucides
  • 1 gramme de protéines
  • 1 gramme de graisse
  • 2 grammes de fibres
  • 5,4 grammes de vitamine C (9% de de la VNR).

Galanga vs. Gingembre vs. Curcuma

Souvent comparé au gingembre et au curcuma, le galanga présente de nombreuses similitudes avec ces deux autres condiments diététiques extrêmement populaires.

Les trois racines partagent des propriétés anticancéreuses (bien que celles des racines de galanga soient les plus étendues), réduisent l’inflammation et offrent un soutien digestif.

Le curcuma et le gingembre sont connus pour aider à lutter contre le diabète et à gérer naturellement la douleur tandis que rien ne prouve encore que ce soit le cas du galanga.

Le curcuma et le galanga, en raison de leur capacité à supprimer le facteur de nécrose tumorale (TNF-alpha), contribuent tous deux à promouvoir la santé du cerveau.

Le curcuma semble être le seul des trois à avoir un effet bénéfique sur la santé du système cardiovasculaire. Le gingembre possède des vertus pour la perte de poids tandis que le galanga favorise une augmentation du nombre de spermatozoïdes.

Fait intéressant, bien que les trois racines présentent des avantages gastro-intestinaux, le galanga peut en fait augmenter la quantité d’acide gastrique chez certains individus et n’est pas recommandé pour les personnes atteintes de reflux gastro-œsophagien (RGO) ou d’ulcère gastroduodénal, alors que les deux autres peuvent être utilisées pour traiter ces affections.


Bienfaits du galanga sur la santé

Bienfaits du galanga sur la santé

1. Pourrait être un agent anticancéreux potentiellement révolutionnaire

L’avantage le plus impressionnant pour la santé du galanga, selon un nombre considérable (et croissant) de recherches scientifiques, est sa capacité à combattre et potentiellement prévenir un grand nombre de cancers et de tumeurs (4).

Je vais passer en revue les types de cancer sur lesquels le galanga pourrait avoir un impact.

Cancer de l’estomac

Une étude menée en 2014 en Iran a révélé qu’un extrait liquide de galanga détruisait de manière significative le nombre de cellules cancéreuses gastriques après 48 heures lors d’un test de laboratoire (5).

Les chercheurs ont décrit cette découverte comme « un résultat important ».

Leucémie

Au cours d’une étude menée en Jamaïque, des cellules de leucémie monocytaire aiguë, une leucémie à évolution rapide qui commence dans la moelle osseuse, ont été exposées à un extrait liquide de galanga afin de trouver un traitement naturel contre le cancer qui n’endommagerait pas les cellules voisines, à l’inverse d’une chimiothérapie dangereuse (6).

Les chercheurs chargés de l’étude ont suggéré que le galanga pourrait constituer un traitement curatif pour cette forme de leucémie, et ce n’est pas un mot que les scientifiques utilisent à la légère.

Cependant, cette étude n’est qu’un début et des recherches supplémentaires sont nécessaires pour examiner les effets de cet extrait sur des cellules saines avant de pouvoir tester le galanga sur des sujets vivants.

Cancer de la peau

Des chercheurs de l’Université nationale Chiayi à Taiwan ont étudié l’impact de trois composés de la racine de galanga sur des cellules de mélanome humain (cancer de la peau) (7).

Les trois composés ont tous présenté un effet anti-prolifératif, ce qui signifie qu’ils ont arrêté la croissance de nouvelles cellules.

Cancer du pancréas

Une étude publiée en 2017 a testé en laboratoire plusieurs composés du galanga et leur impact sur les cellules cancéreuses du pancréas (8).

Ils ont stoppé la croissance de nouvelles cellules et supprimé les voies géniques responsables de l’expansion du cancer.

Cancer du côlon

La première fois que le galanga a été étudié contre des cellules cancéreuses du côlon humain (en 2013), les scientifiques ont découvert qu’il provoquait l’apoptose (mort cellulaire) de deux types de cellules cancéreuses du côlon (9).

Cancer du sein

En 2014, une université iranienne a découvert qu’un extrait de galanga provoquait une apoptose dans la lignée cellulaire du cancer du sein humain, MCF-7, mais n’affectait pas les cellules mammaires saines, MRC-5 (10).

En se plongeant davantage dans la méthode par laquelle le galanga parvient à atteindre cet objectif, une étude universitaire de médecine chinoise a révélé qu’elle utilisait la voie TRAIL (tumor-necrosis-factor related apoptosis inducing ligand) du traitement du cancer pour stimuler la mort cellulaire dans les cellules cancéreuses du sein (11).

Cancer du foie

Une des raisons pour lesquelles le cancer est si dévastateur pour le corps humain est liée à la manière dont il se propage ou «métastase» à d’autres organes. Cela est particulièrement vrai avec le cancer du foie.

Une étude menée à Taiwan en 2015 sur l’impact des composés extraits du galanga sur les cellules HepG2 (un type de cancer du foie) a révélé que ces composés naturels réduisaient le risque de métastases en empêchant les cellules de se fixer à d’autres cellules saines (12).

Dans une autre étude liée au cancer du foie, une thérapie combinée a été utilisée avec du galanga et des agents thérapeutiques plus courants, produisant un effet apoptotique plus important que les traitements individuels (13).

Cholangiocarcinome (cancer des voies biliaires)

Cette forme particulière de cancer n’est pas aussi répandue en France, mais c’est un cancer agressif qui infecte les voies biliaires reliant le foie à l’intestin grêle. Il touche plus souvent les habitants des régions tropicales et subtropicales, notamment la Thaïlande.

Un extrait de kaempférol issu d’un rhizome de galanga testé dans le cadre d’une étude menée en Thaïlande en 2017 a prolongé l’espérance de vie des sujets (des souris), réduit l’incidence des métastases et n’a entraîné aucun effet secondaire notable sur les sujets (14).

2. Améliore le nombre et la motilité des spermatozoïdes

Certaines parties de la racine de galanga peuvent s’avérer utiles pour favoriser la fertilité masculine.

Dans un modèle sur des rats, des chercheurs iraniens ont découvert que le nombre de spermatozoïdes et leur motilité (ou leur capacité de se déplacer) étaient augmentés (15).

Une étude réalisée au Danemark a étudié l’effet d’un rhizome de galanga, associé à un extrait de fruit de grenade, sur le sperme chez des hommes en bonne santé. Les chercheurs ont découvert que le nombre de spermatozoïdes mobiles augmentait trois fois plus que la quantité observée avec le placebo (16).

Vous pouvez facilement trouver des compléments alimentaires de galanga en pharmacie ou en ligne.

3. Agit comme un agent anti-inflammatoire

L’inflammation est à l’origine de la plupart des maladies. Cela signifie que l’inflammation chronique est liée au développement d’un grand nombre de maladies, notamment le cancer, les maladies cardiaques, la maladie d’Alzheimer et plusieurs autres.

La racine de galanga présente un effet anti-inflammatoire sur le corps de manière générale et contre des affections spécifiques (17).

Il existe une cytokine (protéine de signalisation cellulaire) présente dans le corps humain appelée facteur de nécrose tumorale alpha, ou TNF-alpha, qui régule la réponse immunitaire.

Cette protéine fait l’objet de nombreuses recherches car, si elle est stimulée de manière excessive, le TNF-alpha peut provoquer des lésions néfastes et contribuer au développement de maladies mortelles avec inflammation chronique.

Un phytonutriment présent dans le galanga supprime l’activité du TNF-alpha et peut donc contribuer à réduire l’inflammation dans l’ensemble du corps (18).

Cette plante peut également aider à réduire l’inflammation associée à l’arthrite.

Dans une étude menée en 2001, des sujets prenant un mélange comprenant du galanga et des extraits de gingembre ont constaté une réduction significative de leurs douleurs au genou et du besoin de médicaments et une amélioration de leur état général (19).

La mammite (ou mastite) est une autre affection qui peut être traitée avec succès par l’un des phytonutriments contenus dans cette plante (kaempférol). La mammite est une inflammation du mamelon liée à l’allaitement.

Lorsqu’elles ont été traitées au kaempférol, des souris participant à une étude ont constaté une réduction importante de l’inflammation (liée, du moins en partie, à la suppression du TNF-alpha) au point que le galanga pourrait constituer un traitement important dans le futur pour cette affection (20).

Une autre affection particulièrement importante pouvant bénéficier du traitement par galanga est la lésion pulmonaire aiguë conduisant au syndrome de détresse respiratoire aiguë.

Cette maladie est assez commune, en particulier chez ceux qui sont déjà gravement malades, et survient lorsque du fluide pénètre dans les poumons et empêche le transfert d’oxygène aux organes vitaux.

Malheureusement, les lésions pulmonaires aiguës sont souvent fatales. Cependant, l’activité anti-inflammatoire du galanga semble avoir un impact positif sur les lésions pulmonaires aiguës et pourrait constituer une option thérapeutique significative dans le futur (21).

4. Possède des propriétés antibactériennes et antifongiques

Le galanga exerce un effet antimicrobien sur plusieurs bactéries connues pour infecter des aliments, notamment le staphylocoque, E. coli, la listeria, la salmonelle et le clostridium. Il peut même lutter contre E. coli résistant à l’amoxicilline et inverser la résistance de certaines souches à l’amoxicilline (22, 23).

En cuisinant des mollusques avec cette plante, vous pouvez également avoir de meilleures chances d’inhiber l’impact d’une bactérie appelée vibrio. La vibriose peut toucher ceux qui mangent des fruits de mer crus ou peu cuits, en particulier des huîtres, mais ces effets semblent être beaucoup moins probables après avoir ajouté du galanga à la recette (24).

H. pylori est une autre bactérie commune véhiculée par environ 66% de la population mondiale (selon les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies aux Etats-Unis). Cependant, cette bactérie semble aussi avoir rencontré son maître lorsqu’elle est exposée au galanga.

En fait, cette plante puissante peut même aider à prévenir les ulcères d’estomac généralement causés par la bactérie H. pylori, en plus d’éliminer la bactérie elle-même (25).

5. Est riche en antioxydants

Bien que nous sachions que manger des baies nous aide à augmenter notre apport en antioxydants, vous serez peut-être intéressé de savoir que le galanga est similaire aux baies en termes d’antioxydants, bien que les types d’antioxydants contenus dans cette racine ne soient pas nécessairement les mêmes que ceux contenus dans les fruits que vous aimez.

Fait intéressant, les antioxydants contenus dans cette plante semblent être les plus efficaces pour préserver les produits d’origine animale pendant de plus longues périodes (26).

6. Renforce la santé du cerveau

Peut-être en partie à cause de ses propriétés anti-inflammatoires, un composé de la racine de galanga appelé ACA pourrait avoir un effet protecteur du cerveau en réduisant certaines formes de dégénérescence cognitive liée à l’âge (27).

Pour en revenir à la protéine TNF-alpha, il a également été constaté qu’en régulant le TNF-alpha, le galanga peut même aider à combattre la dépression.

L’inflammation chronique et la réaction excessive du TNF-alpha constituent un aspect récemment étudié de la discussion entourant la dépression (28).

7. Peut soulager les douleurs gastriques et digestives

Bien qu’il soit évident que cette racine présente des avantages incroyables selon la science moderne, son effet le plus ancien et le plus recherché est celui qu’elle a sur le ventre.

En médecine ayurvédique et dans d’autres cultures asiatiques, le galanga est utilisé pour calmer les maux d’estomac, soulager la diarrhée, réduire les vomissements et même arrêter le hoquet.


Bienfaits du galanga sur la santé

Comment utiliser le galanga ?

Généralement, le galanga nécessite un environnement tropical dans lequel il peut prospérer, bien qu’il soit possible de le voir pousser dans des climats plus tempérés lorsqu’il est protégé du gel.

Pour le planter, placez les rhizomes à environ 20 cm l’un de l’autre au début du printemps. Lorsque vous êtes prêt à le récolter, retirez délicatement certains rhizomes extérieurs du centre au lieu de déterrer la plante entière (mais assurez-vous de laisser à votre plante environ 12 mois pour mûrir avant de commencer à récolter).

Pour conserver sa fraîcheur, laissez la peau jusqu’à ce que vous soyez prêt à l’utiliser. Le galanga se conserve plusieurs semaines au réfrigérateur mais peut également être congelé ou séché pour en prolonger la durée de vie. En cuisine, vous pouvez utiliser à la fois la plante fraîche et les rhizomes (racines) séchés.

Il y a plusieurs façons d’utiliser la racine pour la consommation. Une solution consiste à couper les racines et à les utiliser dans une «décoction», ce qui signifie simplement créer une «liqueur» à partir de l’huile essentielle du rhizome.

Vous pouvez également réduire les racines en poudre et créer vos propres suppléments maison, préparer une tisane ou simplement les hacher pour les utiliser dans une variété de plats. En cuisine, n’hésitez pas à expérimenter.


Compléments alimentaires / suppléments de galanga

Vous pouvez facilement trouver des compléments alimentaires de galanga en pharmacie ou en ligne.

Vous pouvez trouver du galanga sous forme de gélule, de poudre, de racine séchée ou d’extrait liquide.


Effets secondaires possibles et précautions

À l’instar de la plupart des plantes, vous devriez éviter d’utiliser le galanga pendant la grossesse, à moins que votre consommation ne soit suivie de près par un médecin.

Le galanga est un aliment relativement hypoallergénique, suggéré dans certaines études pour réduire l’intensité des réactions allergiques. Il est donc probable que vous ne présenterez aucun symptôme d’allergie après en avoir consommé.

Comme je l’ai déjà mentionné, le galanga (en particulier Alpinia galanga ou «grand galanga») peut potentiellement augmenter la quantité d’acide gastrique que vous produisez.

Si vous souffrez de reflux gastro-œsophagien (RGO) ou d’ulcère gastroduodénal, il est probablement préférable de l’éviter à moins que votre médecin de famille vous le recommande (29).


Conclusion

Le galanga, qui appartient à la famille du gingembre, est une plante savoureuse et épicée originaire de Thaïlande et de Chine. C’est l’une des rares épices à ajouter une saveur forte sans la présence de capsaïcine.

Le curcuma et le gingembre partagent certaines vertus et caractéristiques avec le galanga, mais ils ont tous les trois des saveurs distinctes et des avantages uniques.

L’avantage le plus largement étudié du galanga est sa capacité à lutter contre différents types de cancers. Le galanga aide également à réduire l’inflammation, à augmenter le nombre et la motilité des spermatozoïdes, à lutter contre les infections bactériennes et fongiques, à favoriser la santé du cerveau et à atténuer les nausées et autres problèmes d’estomac.

«Galanga» fait référence à l’un des quatre types de racines, les deux plus courants étant le petit galanga et le grand galanga. Il est difficile mais pas impossible de cultiver du galanga dans des conditions autres que tropicales, et vous devrez attendre au moins un an avant de pouvoir récolter le vôtre.

En outre, vous pouvez facilement trouver des compléments alimentaires de galanga en pharmacie ou en ligne.

Bienfaits du galanga sur la santé

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